Le ministère de l’environnement de l’Equateur a confié au groupe français d’ingénierie Egis le contrat national de gestion des déchets ménagers du pays.
Ce contrat, qui s’inscrit dans le Plan national de gestion des déchets ménagers mis en oeuvre par l’Equateur, s’étend sur 284 000 km² et concerne 15 millions d’habitants répartis en 24 provinces.
Il s’articule autour de trois phases dont une phase de diagnostic, une phase d’établissement de propositions puis d’établissement du projet de planification. Ce marché sera assuré par les équipes Waste Management d’Egis qui rassemblent cinquante spécialistes en ingénierie des déchets et des sites pollués à travers le monde. Ces derniers s’appuieront sur l’expérience de consultants équatoriens.
Pour couvrir l’ensemble du territoire, Egis s’appuiera sur trois bureaux locaux du projet situés à Quito, Guayaquil et Cuenca.
Dans le détail, la mission d’Egis portera sur la définition de systèmes de collecte et de traitement des déchets ménagers aux coûts optimisés et à la technologie adaptée aux capacités du pays, le développement de l’intercommunalité, la sensibilisation de la population et la préparation de la loi sur les déchets.
La gestion des déchets, c’est une pratique qui est très chère aux personnes qui luttent pour la protection de l’environnement. De plus, c’est vivement recommandé afin de pouvoir les trier et de procéder au recyclage.
Quelle bonne idée, surtout avec les équipes Waste Management d’Egis, j’espère que ce nouvel accord va apporter un grand changement en ce qui concerne la politique pour la protection de l’environnement ? Merci pour ce partage.
La gestion de déchets ne doit pas être confiée seulement à des enseignes de ce genre. C’est chaque citoyen qui a le devoir de le faire en premier lieu. Mais c’est un bon début quand même, je trouve.
Quelle bonne idée venant du ministère de l’Environnement de l’Équateur de confier cette lourde tâche à Egis ! Surtout dans la zone urbaine de ce pays, les ordures règnent partout. Merci pour cette information.
Plus que jamais, surtout suite à ce qui s’est passé dans le sud de l’Allemagne et en Belgique, il faut prendre au sérieux ce genre de pratique. C’est le devoir de chacun, je crois. On doit impérativement protéger notre environnement.