L’Equateur semble progresser quelque peu dans l’éradication du travail des enfants, un mal qui affecte encore trop fréquemment les moins de 17 ans et qui plus est souvent dans des endroits dangereux tels que les décharges, les mines ou encore les abattoirs.
La ministre du Développement social, Cecilia Vaca, a récemment déclaré que le pays aurait réussi à éradiquer le travail des enfants dans les abattoirs après l’avoir fait dans les décharges, la floriculture, les plantations de bananes et les mines. Selon le gouvernement, entre 2006 et 2011, environ 450 000 enfants et adolescents auraient arrêté de travailler en Equateur.
L’Unicef place l’Equateur à la troisième place des pays d’Amérique du Sud avec le moins de présence de travail des enfants (7,5%), après le Chili (2,9%), et l’Argentine ( 6,5%), l’Equateur enregistrant une baisse de 17,5% du travail infantile par rapport à 2007.
Les chiffres donnés par le gouvernement équatorien sur ce sujet ne sont pas aussi optimistes, avec une baisse de 8,6% du travail des enfants depuis 2007, bien que la tendance à la baisse soit également enregistrée.
La première étude sur le travail des enfants a été réalisée en 2012 par l’Institut équatorien de la statistique et des recensements, et a révélé que les enfants travailleurs passent en moyenne 40 heures par mois à leur tâche pour gagner un salaire moyen de 100$. C’est à la suite de cette enquête que le gouvernement équatorien s’est donné comme objectif d’éradiquer totalement le travail des enfants d’ici à 2017.
Alors que 85% des enfants qui travaillent réussissent tout de même à aller à l’école primaire, seulement 15% d’entre eux continuent au collège et au lycée.
Toujours selon l’Unicef, le Pérou se positionne à la dernière place de l’Amérique du Sud concernant le travail des enfants avec un chiffre alarmant de 33,5% d’une classe d’age qui travaillerait d’une manière ou d’une autre. Sur l’ensemble du continent Il y a 13 millions (8,8%) d’enfants astreints au travail.
Source : Andes Info
C’était une belle initiative de votre part, mais où en êtes-vous en ce moment ? Je ne sais pas vraiment quelle approche avez-vous adoptée pour cela, mais ce sont les résultats qui comptent à mon avis.
Merci beaucoup pour cette initiative. Je continue à penser que les enfants ne doivent pas être dans l’obligation de travailler. Leurs seuls soucis doivent être les études. D’ailleurs, cela fait partie de leur droit.
Cela me rend triste de voir des enfants qui doivent travailler. J’apprécie votre geste. Toutefois, il s’agit plutôt de changer la mentalité des parents afin de ne pas laisser ces enfants subvenir eux-mêmes à leurs besoins.
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Les enfants ne devront jamais devoir travailler. Ils n’ont pas souhaité venir ici sur terre, donc ce sont les parents qui doivent s’occuper d’eux. Des fois, certaines personnes pensent qu’en leur faisant cela, elles les forgent à être responsable.
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Je crois que ce n’est pas en les forçant à travailler qu’ils vont être responsables dans leur vie, c’est plutôt en leur donnant des bons exemples et surtout en leur donnant de nombreuses opportunités pour leur futur.
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Cette lutte va encore être difficile surtout pour les pays en développement. J’ai déjà fait une expédition dans un pays en Afrique, et les gens vivent vraiment dans la misère là-bas. Certains parents envoient même leur enfant chez nous, dans des conditions illégales afin de leur offrir un meilleur avenir.
Moi aussi je suis d’accord avec toi. J’ai fait de nombreuses compagnes en Afrique dans le cadre d’actions humanitaires, et les gens là-bas vivent dans des conditions au-dessous du vivable, si j’ose dire. Même en faisant travailler leurs enfants, les parents n’arrivent pas à subvenir comme il se doit aux besoins de sa famille.
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Et dire qu’il y a des enfants par ici qui se sentent misérables, car leurs parents n’ont pas acheté tels ou tels jouets, notamment comme celui de leurs voisins. On devrait leur montrer la vie de ces enfants qui doivent travailler pour subvenir à leurs faims.
À mon avis, ce sont les enfants qui décident, des fois, de travailler malgré ces parents. Ils se disent que de cette manière, ils peuvent se sortir de la misère. Alors que ce n’est pas toujours le cas.
Eh oui, il faut dire que nos enfants sont pourries gâtés, ou je devrais plutôt dire la plupart. Et c’est tellement dommage, car ils ne se rendent même pas compte de la chance qu’ils ont.
Ce que je ne comprends pas c’est le fait qu’il existe un code pour les enfants et les adolescents qui garantit juridiquement leur bien-être. Mais il existe encore des ados traités comme des esclaves dans certaines régions.
Je trouve qu’il s’agit là d’une très belle lutte pour le bien des enfants. Toutefois, il ne faut pas laisser cette initiative au statut d’objectif, de but ou de finalité, il faut le réaliser comme on le pourrait.
Bonjour,
Je tiens à vous féliciter pour cet article intéressant sur l’éradication du travail des enfants en Équateur d’ici 2017. Il est important de sensibiliser le public sur cette question et de prendre des mesures pour protéger les droits des enfants. Je voudrais savoir si vous avez des informations sur les progrès réalisés depuis la publication de cet article. Merci pour votre travail et votre engagement envers cette cause importante.